Casque à réalité virtuelle, avantages et inconvénients

De plus en plus, les ingénieurs et scientifiques cherchent à améliorer le concept immersif de réalité virtuelle et même de pousser le grand public a consommé ce  fruit de la technologie. Mais quel est l’effet de l’utilisation de ce casque ?

Les avantages du casque à réalité virtuelle

Le casque à réalité virtuelle est un outil technologique permet de voir (la vue), d’écouter (l’ouïe) et de ressentir (le toucher) le monde en image 3D. En le posant sur la tête, il permet de vivre au cœur même les expériences vidéo ludiques, de faire plonger son utilisateur dans un monde plus que réel en éprouvant une telle sensation émotive. En effet, en portant un casque à réalité virtuelle l’utilisateur est plus concentré sur l’image détaillée qu’il émet et donc limité à toute autre distraction. Plus attentionné que jamais, les images renvoyées seront plus présentes et mémorables que d’autres grâce à la RV. Il permet aussi de faire exprimer les émotions et donc se voit comme un remède pour ceux qui ont dû mal à les exprimer. Il est un outil mobile, léger, pratique au sens qu’il peut être utilisé dans plusieurs domaines (militaire, publicitaire, loisir, médical, …) notamment pour envoyer des messages à graver dans le mémoire mais également accessible pour tout public.

Les inconvénients de l’utilisation du casque à réalité virtuelle. 

Le casque à réalité virtuelle, même s’il est accessible pout tout public, il est plus prudent de ne pas l’utiliser chez un enfant moins de 15 ans. Pourquoi ? Dans son composition tels les éléments utilisés pour sa conception : présence d’un aimant très puissant,  un verre de lunette en plastique placé à distance près des yeux, utilisation de leds (oleds) pour émettrai des images lumineuses … A usage répétée, le port de casque à réalité virtuelle entraine de trouble de vision (l’accommodation, la convergence), de trouble et de cerveau (céphalées) et de trouble digestive (sensation de mal de mer ou de mal d’auto par des nausées et vomissements). De plus, les commandes motrices (jambes, bras) et les capteurs d’équilibre (cerveau et nerf) sont en contradiction avec la sensation vécue étant donné qu’on ressent une sensation forte sans pour autant bouger de sa place.